soldatlouis niveau 4Age: 41 Arme(s): Compound et un peu de cla
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Moi je suis encore a l'ancienne génération de cougar , celui avant le cougar 3 et franchement, je n'avait jamais entendu parler de problèmes sur les poignées de chez martin . donc je pense que ces marques sur le cougar 3 doivent etre effectivement des traces d'usinage et rien d'autre... une fissure ne serais pas aussi visible je pense, ou alors l'arc serait déja cassé. j'ai cassé un arc une fois, un hoyt striker II, et j'avais pourtant rien vu venir, aucune amorce de rupture; aucune fissure apparente, ca avait laché d'un coup !!
sinon, n'avez vous pas des problèmes de fissures sur les branches de vos martin (moi c'est au niveau du début de la fourche ou sont fixées les poulies)
j'en suis a mon troisième jeu de branches en 3 ans et il est actuellement de nouveau fissuré!! bon fo dire que je sollicite quand meme pas mal le matos!! je tirais fatboy et navogator et puis la je viens de passer a de la lightspeed, encore plus légère!! mais bon, fo bien pour le nature /3D!! et puis tant qu'on me change les branches gratuitement quand elles cassent ca va paske a part ce problème je suis vraiment content de cet arc !! et pas que pour le 3D, meme en fédéral et fita c'est vraiment bien, en salle je dirais que c'est pas le top car meme si c'est tres précis ca ne pardonne pas... |
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virgile niveau 6Age: 62 Périgny dans le 17 Arme(s): arc à poulies
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C’est bien d’avoir eu cette réponse de la maison Martin, mais je tiens à apporter quelques précisions qui n’intéresseront pas grand monde mais j’y tiens quand même. J’ai acheté mon Cougar III le 19 janvier 2005. Je l’ai choisi tout d’abord pour l’esthétique pur, c’est nul diront les purs techniciens de l’arc à poulies mais c’est ainsi, j’ai flashé sur cet arc. Je n’en voulais pas un autre, ses courbures très racées tel un pur sang m’ont subjuguées. J’ai cet arc depuis maintenant 8 mois, je l’adore, il me procure de très agréables sensations et donc un plaisir immense à chaque flèche libérée de son corps d'arc. J’ai connu une très belle progression notamment au cours de ces 4 derniers mois. Il m’a beaucoup apporté et je vais lui en demander encore beaucoup. A aucun moment, je n’ai critiqué les performances du Cougar, bien au contraire. Je te l’ai d’ailleurs déjà écrit en MP Eric, je ne sais pas où me conduira cet arc mais une chose est sûre c’est qu’il peut m’amener très loin, à moi maintenant de continuer à m’investir pour y parvenir. Et cela constitue une excellente motivation.
Si je suis aussi exigeante quant à la qualité du rendement de cet arc, je le suis tout autant quant à son esthétisme. Alors quand je vois qu’au bout de 6 mois, l’anodisation a disparu pour laisser des traces d’usinage, ça ne fait pas très plaisir. Est-ce dû à la teinte rouge ? Pourquoi existe-t-il un épaulement de quelques dixièmes de mm ? (dû certainement au passage de la fraise durant la seconde phase de surfaçage au cours de l’usinage de cette « fenêtre » dans la poignée…).
Cependant, avant même la réponse de Martin que tu as publiée, j’étais déjà rassurée grâce à Philippe HMZ qui m’a appelée en me disant que ces traces ne remettaient pas en cause la solidité de la poignée. Il n’en demeure pas moins que cette histoire d’esthétisme est à régler. Je vais devoir user d’astuces pour camoufler ces vilaines traces. Comment faire ?
Cette histoire n’a que trop durer, je suis désormais impatiente de récupérer mon Cougar, de le régler pour la saison salle et de prouver à la maison Martin, en terme de performances, que je suis très satisfaite de leur matériel. On se retrouvera sans doute à Nîmes.
Eric, j’aimerais te demander une faveur puisque tu sembles être la personne ressource en France auprès de la maison Martin, j’aimerais bien avoir un polo, tu sais avec le grand Cougar dans le dos, c’est peut-être trop demander, ma taille, c’est M.
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