stress et le sport

Mer 14-02-2007, 21:19

y a t'il un livre qui parle du stress dans le sport (en competition) et de la coordination visio-motrice ??????
ou est-ce quelqu'un connait un livre dans ce domaine ?

Mer 14-02-2007, 22:04

Une petite page - pour pas cher:
http://letirsportif.free.fr/pages/sophrologiepag.html
D'autres pages à partir de là:
http://letirsportif.free.fr/pages/techniques_de_tirpag.html

Wink

Dim 18-02-2007, 23:45

Sujet déplacé dans la bonne salle nikel

Lun 19-02-2007, 9:22

"Entraînement mental du sportif : Comment éliminer les freins psychologiques pour atteindre les conditions optimales de performance" de Hervé Le Deuff chez Amphora

J'ai bien aimé, mais je ne suis pas d'accord avec tout.

** Lien direct vers un site marchand remplacé par le titre, l'auteur et l'éditeur - Doume**

Lun 19-02-2007, 11:20

Même commentaires à propos du livre cité par yoy.

Lun 19-02-2007, 11:40

Sam 24-02-2007, 20:10

Bonoir,

"Objectif le jaune" de Al Henderson, est ue grosse référence en la matière, il parle nottament des freins psychologiques
par rapport a la gestion de la peformance.
Il donne aussi quelques astuces, comme cette denière:

A une époque donnée, j'étais bien entrainé, j'avais acquis une bonne expérience, physiquement très bien préparé.
Mon obsession etait de faire 13OO pts, en FITA ' 4 distances ( 90 70 50 30 );

Au lieu de 1300, j'aurai du penser: " ouais, je eux faire 1313 points, ainsi, je n'aurai pas "buté" sur ce chiffre, O combien
mythique ds le tir a l'arc, et resté 12 points derrière.
C'est un peu comme courrir le mile (16O9 m ), en moins de 4 ', passer sous la barre des 10" au 100m.

Seule l'experience et la maturité t'apporte cette capacité de relativisation par rapport aux spéculation diverses, sur le score que tu
peut eventuellement faire.

cependant,
tirer sans stress, est un symptome de je m'en foutisme, il enfaut tjs un tout petit peu car le stress te permet
d'être nettemnt plus vigilant quand a l'execution de ton geste, le rapport que tu a avec les autres archers,
d'etre plus minutieux.
le bon stress bien géré, et gérable peut être un atout de taille.

Dim 04-03-2007, 14:32

Sam 17-03-2007, 23:23

Au fait d'avoir évoqué le non stress, pour être plus explicite, je dirai le mot: " blasé ".
C'est comme le désert des Tartares, où l'on attend un ennemi qui ne viendra jamais,
enfin jamais plus...

J'apelle celà plus trivialement: "les compètes Drucker", en gros, t'a rien a faire de spécial le dimanche
alors tu vas en faire une petite, histoire de...

C'est pasr nature, absurde, car n'ayant pas d'objectif concrêt ( voire opportuniste ou non ), le sens même du mot compétition devient caduque.

Par conséquent, le score s'en ressent, tu stagne, non pas a cause d'un stade du potentiel atteint,
mais aussi faute de combattants.
Je rapelle que sans vous adversaires, je ne suis rien, car c'est logique de dire que ce sont tes propres
concurents qui t'ammènent, ou non, a la victoire.

A quoi se raccrocher?
A la performance, mais là aussi faut y aller mollo ds la spéculation, au risque de se retrouver au fin
fond d'un puits de mine.
Faire de bonnes perfs implique aussi un minimum d'ouverture d'esprit, dans ce sens ou, même
avec une flèche, une volée un peu tangeante, c'est pas Stalingrad, y'a moyen de se refaire

La personne blasée, elle, se fera aspiréere au fond de ce maëlström, la personne avec un leger
symptome de pression, va pouvoir evoluer très rapidement sans se gaufrer a la première occase
Simplement parceque ce dernier auguemente ttes les sources de perceptions, en matière de focalisation,
de visualisation, détailler l'adversaire, pour trouver la brèche, ou le point faible,afin de s'y engouffrer
pour neutraliser l'eventuelle nuisibilité de son concurent.
Ca pourrait ressembler a de l'Aïkido: ( utiliser au maximum les forces de l'adversaire ), pour mieux
s'en débarrasser: plus d'homme, plus de problème!

Dim 18-03-2007, 8:35

nous rentrons ici de plein pied dans les notions de motivation, un sujet intéressant à évoquer.

Mer 21-03-2007, 9:02

Un autre type de stress:
L'angoisse pré compétitive.... Je m'explique:

Plutôt par l'illustration, voilà les Europes fita ont lieu ts les deux ans, les années paires, elles tombent une fois
sur deux l'année de P.O*.
(A titre informatif, elles constituent une étape majeure, une sorte d'essai grandeur nature
dans le process de sélection pour les jeux).

Nous avons donc là un macrocycle de deux ans de prépa, avec tout ce qu'un macrocycle de cette ampleur peut avoir
c-a-d, stages, circuit national & continental, regroupement nationnaux, calendrier d'entrainement très pointu
avec de nombreuses evaluations, de recadrage d'entrainement .... bref, tout ce qu'il faut pour non seulement pouvoir
y participer, et de surcroit correctement car il y a ennormément d'enjeu, pas particulièrement matériel mais surtout
a titre personnel, c'est une reconnaissance, une sorte d'échéance très importante dans le process d'aboutissement ds une carrière internationale.
Donc: interdit de se crasher, d'ailleurs cette idée ne doit même pas te venir a l'esprit, tu y vas pour donner le meilleur
de toi a chaque moment ou celà s'impose a toi même, et c'est très fréquent.
Arrive un moment, le couperet tombe: la selection, puis la grande denière ligne droite au but:
Stage terminal et ..............................plouf!

Comme je suis du genre vachement inquet, avant, j'ai commencé une p de prise de tête, çà m'a pris au terminal
C'etait pas au championnat d'europe de TAA que j'étais sélectionné, c'etait pour les europe du meilleur pompier catégorie
lance a incendie gros débit jusqu'au 8è étage...
La trouille, je ne vous raconte pas...
Alors je me suis dit écoute, laches l'affaire, oublie tous çà le scores, les machins les truc, S I M P L I F I E !
inch'Allah, appliques toi, donne ce que tu a de meilleur a ce moment là, au moins tu ne pourra pas dire que tu ne
t'est pas battu du 1er tube au 144è.`

Puis une fois arrivé, toute inquietude disparut, je mis dans le bain rapidement, je me souviens que ( en dehors des entrainements), nous discutions beaucoup avec les équipes des autres nations, comment s'organisaient-ils?
leurs modee de sélections, leur matos, leur records.
En fait tout celà, me et nous rassurait, finalement nous rencontrions de gens comme nous, ni plus ni moins,
tous motivés et surtout intérréssés et passionnés par ce que nous faisions, enfin je veux dire que cette ambiance
etait rassurante, donc propice au renforcement de la confiance par le biais du plaisir a etre tous ensemble
a cet evenement quelque part un peu rare, donc a savourer avec simplicité & determination.
Et finalement çà s'est pas mal passé.

OUF!

Mais la pétoche ( pas de l'adversaire, mais de moi même), les qq semaines précedentes, a en être malade, vert comme Cerdan avant de poser les pieds sur le ring!

.
Sauf que là çà a duré a laise quinze jours trois semaines la session trouillomètre a zéro.

Finalement, ce qui m'a sauvé, c'est la cohésion entre équipiers, le collectif, c'est très très important dans la mesure
où l'on se connait tous bien dans nos réactions diverses & variées face a l'adversité et a la difficulté.
Mais aussi grace à l'ouverture et à la générosité d'esprit de nos adversaires, leur humour aussi:
( les Soviètiques, ou les rois de l'intox : (" c'est quoi ton record ? 1336 HEEEEIN?", et toi 1332 RHOOOOO* ) Shocked

C'est pour çà que c'est pas facile de monter une bonne équipe de club, enfin du moins c'est long, çà prend du temps
Celà s'envisage de fait sur plusieures années.

*P.O (préparation Olympique );

* Selon les critères de l'époque

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