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maxiarcher
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justement je pe plus regler en orizontal je v essayer de conteviser   |
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| COACHBEAR Rédacteur Age: 70 Brienon La Sentinelle Arme(s): cl ou ap ou arc chasse
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Ton cas n'est pas un cas isolé loin s'en faut!
pas de remèdes miracles mais bien de solutions constructives...
1/ ce n'est pas le tir à l'arc qui te déplaît mais bien plus l'image que tu as de toi au travers de ta pratique...donc effectivement, il te faut corriger ce point. Etre capable d'accepter de tirer des flèches (pas tjs bonnes) et accepter que ton niveau du jour ne soit pas celui d'hier.
Je pense pouvoir avancer que bon nb de pratiquants ne persévèrent pas dans notre sport, en regardant comme dans un miroir, leur résultat en cible. Si l'image est négative.... 
Pour la pratique elle-même : -changer la façon de pratiquer oui : du BB au CL ok, ça peut aider.
-Tirer à distance très sécurisante pour toi 5 à 10 m voire moins. Ca permet de se recentrer sur soi. L'apprentissage du click passe par là aussi d'ailleurs.
-pas de blason au début mais réapprendre, dès que le niveau de maîtrise est suffisant, à réintroduire une image de visée simple : oeilleton gros, viseur rapproché de l'arc, pas de grain d'orge...ceci permet de redonner la place que la visée doit avoir dans tout système de tir pas encore bien maîtrisé, soit 10 à 20% max.
Adapter la zone de visée à une zone de réussite.
Enfin reculer dès que la confiance revient et remettre progressivement de la couleur, tjs en prenant en compte une zone de visée adaptée à ses possibiltés réelles.
Faire des pauses dans la séance dès que la qualité du système de tir se dégrade aussi...
Ce sont qq grandes lignes, mais en 1 mois, ce travail, à raison de trois séances semaine, d'une une durée de 2 h, doit suffire.
Ceci pour un archer ayant un niveau de compétence déjà assez élevé. Si qualitativement l'archer a un niveau de compétence moindre ça peut être un peu plus long.
A ce sujet, c'est svt le cas car pas de tireurs atteints de ce syndrôme, ont un système de tir ou la visée est bien trop prioritaire par force, par manque d'automatisation dû à un déficit d'apprentissage technique, qu'il faudra aussi corriger afin d'éviter une rechute  |
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| Frederic Lecomteniveau 2 Age: 63
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Certaines avancées scientifiques tendent à séparer le mental des émotions. Et pour comprendre ce qui se passe ici voici quelques brèves explications simplifiées. Les émotions sont des "captures" physiologiques du monde qui nous entoure, le mental en est son interprétation.
Si je prends l'exemple du chien, étant jeune un enfant se fait mordre par un gros chien. Des années plus tard, en apercevant la tête d'un petit chien, il aura automatiquement une sensation de peur, et ce même si le chien est petit. Parallèlement, en tant qu'adulte, il va avoir une pensée rationnelle et se dire, je ne dois pas avoir peur du chien. Pourtant les circuits d'auto protection sont déjà actifs.
Nous sommes ici dans le même cheminement. Intellectuellement (ou mentalement) on se dit "je n'ai pas peur de la cible, il faut viser...mais émotionnellement les processus sont tout de suite activés. Malheureusement ces derniers ont une vitesse de propagation largement plus rapide que le traitement intellectuelle.
Heureusement, il est possible de neutraliser en agissant sur les émotions elles mêmes (attention ce n'est pas une solution unique !). Il est possible de canaliser intentionnellement le processus physiologique de l'émotion par une synchronisation respiratoire (la cohérence cardiaque voir David Servan Schreiber pour une explication vidéo).
Je vous propose le protocole suivant:
Pendant 4 semaines à raison de 10 minutes d'exercice par jour (matin ou soir):
1- identifier avec sincérité quel est le problème, celui qui bloque actuellement le tir
2- identifier la région du coeur et y ressentir les impulsions cardiaques
3- respirer cycliquement par la région identifiée en 2 par périodes de 5 secondes en inspiration et 5 secondes en expiration (astuce, l'air inspiré et expiré doit passer par la région déterminée en 2);
4- laisser venir une solution à votre problème identifié en 1
Pendant les 4 semaines de travail ne pas tirer en reproduisant la situation bloquante, (tirer sur paille serait une solution) vous risquez de réactiver les mauvais réflexes.
Après 4 semaines, reprendre le tir en suivant la procédure suivante:
a-(en dehors du pas de tir, derrière la ligne de tir) quelle est la solution sincère déterminée et ancrée pendant les exercices
b-prendre la décision de tirer le plus efficacement possible.
c- avancer sur le pas de tir sans remettre en cause la décision prise en b.
d- tirer la volée de manière spontanée, si les symptômes récidives, revenir en dehors du pas de tir et reprendre sa décision.
Ca vaut le coup d'essayer, bonne chance. |
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| Hélèneniveau 4 Age: 37 Arme(s): Classique
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Cela revient un peu à associer la relaxation avec l'objet de la peur, non? On instaure une proximité temporelle entre le fait de tirer et quelque chose d'agréable (une période de relaxation) pour faire disparaître l'effet angoissant.
Si oui, alors c'est sans aucun doute une méthode qui a fait ses preuves.
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Mieux vaut entendre une corde qui se brise que de n'avoir jamais tendu un arc - Verner von Heidenstam |
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| Frederic Lecomteniveau 2 Age: 63
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| Citation: | | Cela revient un peu à associer la relaxation avec l'objet de la peur |
Nous sommes bien sur un principe d'association, mais un principe de relaxation associé à un principe de peur ou d'angoisse devient un principe dynamique.
Plusieurs notions dans organisation:
une mise en action physiologique ayant pour principe d'exposer l'organisme
une fois que l'organisme est actif, prise de conscience et activation psychologique
la proximité temporelle provoque quand à elle, un synchronisme identique à celui qui fonctionne au niveau eds 2 hémisphères du cerveau (gauche et droite);
Il n'y a pas de doute sur la méthode en elle même, par contre c'est son application et son implication de la part de l'archer qui est parfois difficile. En somme, s'il n'y a pas de soute de la part de l'archer alors la méthode fonctionne ! (principe de l'implication) |
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| Hélèneniveau 4 Age: 37 Arme(s): Classique
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L'application me semble effectivement difficile sans avoir un encadrant qui connaît bien le sujet. De plus, si la personne a le moindre doute sur les mécanismes qui régissent le comportement qu'elle a quand se produit cette "interférence émotionnelle", elle peut très vite abandonner la méthode qu'elle jugera inefficace...mais inefficace car mal utilisée peut être.
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Mieux vaut entendre une corde qui se brise que de n'avoir jamais tendu un arc - Verner von Heidenstam |
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| COACHBEAR Rédacteur Age: 70 Brienon La Sentinelle Arme(s): cl ou ap ou arc chasse
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L'approche du problème vue par Frédéric est très intéressante. la levée d'inhibition nécessite une attention de chaque instant et effectivement un encadrant connaissant le sujet, le tir à l'arc et ayant la confiance de l'archer.
Il est à noter cependant que ce pb touche bon nb d'archers en fin d'initiation ou de perfectionnement et là c'est sur les fondamentaux qu'il faut travailler.
je retiendrai en priorité (sans occulter les autres propositions cependant) :
- identifier avec sincérité le pb.
- laisser venir une solution au pb identifié
la situation bloquante ne doit effectivement pas être abordée tant que la bonne option mentale n'a pas été prise.
Dès le premier jour, c'est le mental et la manière d'aborder le tir à l'arc qui est ma priorité, bien avant le matériel et la technique n'est en fait qu'uen aide à la construction mentale |
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| Frederic Lecomteniveau 2 Age: 63
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| Citation: | je retiendrai en priorité (sans occulter les autres propositions cependant) :
- identifier avec sincérité le pb.
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Afin d'étoffer les dires de coachbear.
identifier avec sincérité le pb. Je parle ici d'identification émotionnelle et non intellectuelle. La différence pourrait, pour l'archer, provenir d'une sensation de confort, de bien être, ... il est sur de lui sans en connaître la raison.
| Citation: | | - laisser venir une solution au pb identifié |
le laisser venir est aussi une sensation émotionnelle, un processus physiologique comme le frisson par exemple, doit accompagner cette solution.
Pour ma part j'utilise un capteur d'émotions ce qui est plus facile pour guider l'archer sur sa sincérité et sa solution. Plus facile car c'est moi, le coach, qui le guide sur les pistes émotionnelles qu'il peut emprunter, il n'y donc pas dans une spirale intellectuelle.
La différence entre émotionnel et intellectuel, dans ce cas est:
emotionnel : sensation, ressenti, attitude physiologique, émotion, bien être, plaisir...
intellectuel : calcul, simulacre, filtre, interprétation, considération... |
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