tir au dessus de l'eau

Mar 12-05-2009, 14:59

Sur un plan d'eau calme, je n'ai jamais eu de problème de distances du à un gain ou une perte de trait.
Par contre, au dessus d'une chute d'eau, c'est parfois plus problématique. Rappelez-vous Vagney, aux chutes du Bouchot.
Ce n'était pas l'eau qui posait problème,mais les courants d'air qu'elle provoquait en tombant. Il y avait des "coups de cul" et des "beurks" points.

Mar 12-05-2009, 22:36

Il faudrait demander aux spécialistes:

jeffouille, que pense tu de l'influence de l'eau en tir en campagne ? Cool

Mar 12-05-2009, 23:28

Il faudrait aussi demander à Cyril, il a justement subi l'attraction de l'eau en voulant récupérer les flèches de certains concurrents, tombées à l'eau lors du dernier Harrow Head de Meaux ( Cyril, si tu me lis Wink

), mdrrrrrr

Phil

Mer 13-05-2009, 12:25

Mer 13-05-2009, 12:41

ben un jour j en ai bu et j ais pas fait de points alors.......... Wink

Mer 13-05-2009, 13:16

C'est vrai que quand jeff boit de l'eau, c'est qu'il y a un vrai problème.
En tout cas au dessus de l'eau je m'attendais à ta grande théorie dont tu nous a fait part un jour à Wuustvezel, tu te souviens?

Mer 13-05-2009, 13:25

Attention, ne pas confondre:
- Gagner du trait et boire d'un trait
- Tirer sur l'eau et marcher à l'eau
- Faire des bulles et boire du champagne...

Wink

Mer 13-05-2009, 13:32

En tout cas ce sujet est en train de boire la tasse....

Jeu 14-05-2009, 19:38

Oui c'est vrai, beau parcours et belle journée malgré une fin de soirée difficile. Heureusement qu'on l'a récupéré, sa m'a couté cher d'ailleur ^^'

A trés bientôt sur un nouveau pas de tir j'espère aussi !

Ven 29-05-2009, 21:32

voila pour moi la seule explication pour lequel on perd du trai au dessus de l eau

Une hypothèse souvent évoquée pour expliquer les disparitions dans le Triangle des Bermudes est celle des flatulences océaniques. Ce terme désigne des émissions sous-marines de gaz (méthane) qui diminuent fortement la densité de l’eau jusqu’à provoquer une perte de flottabilité. Ce gaz, une fois relâché dans l’atmosphère, présenterait aussi des dangers pour l’aviation.
Les hydrates de méthane
L’hydrate de méthane est un composé organique naturellement présent dans les fonds marins. Appelé familièrement « glace qui brûle », ce composé glacé est inflammable : il s'agit en effet d'une fine « cage » de glace dans laquelle est piégé du méthane issu de la décomposition de matière organique relativement récente (par rapport à celle qui a donné le pétrole et le gaz naturel) effectuée par des bactéries anaérobies.

La stabilité des hydrates de méthane est obtenue dans des conditions de pression et température précises. Lorsque ces conditions ne sont plus remplies, le gaz est libéré en très grande quantité.

Par exemple, un hydrate de méthane qui se trouve dans les sédiments océaniques par 600 mètres de fond à 7°C est stable; il deviendra instable avec une augmentation de température de moins de 1°C.
Les hydrates de méthane sont une explication proposée pour la perte de nombreux navires dans le triangle des Bermudes : la région possèderait d'importantes quantités d'hydrates de méthane peu stables, et de temps à autres, du gaz serait relâché. L’instabilité des hydrates de méthane surviendrait suite à de faibles changements de la température de l’océan, ou suite à un tremblement de terre qui modifierait les caractéristiques des fonds marins et libèrerait le gaz.

Si un navire se trouve par malchance à cet endroit pendant une éruption, il se retrouve dans de l'eau "gazeuse" et ne flotte plus - il coule alors à pic en raison de la flottaison qui s'en trouve diminuée. Cette force de flottaison, ou poussée d’Archimède, équivaut au poids du volume d'eau déplacé (sous la ligne de flottaison du navire). Si du méthane est mélangé à l’eau, la densité équivalente est diminuée donc le poids de l'eau déplacée aussi. Le navire s’enfonce dans l’eau et finit par couler s'il s'enfonce au-delà de la limite de la coque.

De plus, il a été expérimenté qu'un faible taux de méthane dans l'air (de l'ordre de 1% à 3%) est suffisant pour étouffer le moteur à piston d'un avion. Ceci expliquerait la disparition de quelques avions dans cette zone : ils seraient passés à travers une nappe de méthane émanant de la mer.

Par contre, nous ne connaissons pas l’effet sur un turboréacteur ou un turbopropulseur d’une faible concentration de méthane dans l’air. Evidement, si la concentration de méthane dans l’air est trop importante, c’est l’explosion assurée.

voila SOPHIE ma seul explication tirer par les cheveux cé vrais mais moi j'y crois alors je rajoute toujours un mètre ou deux au dessus de l eau et pour le moment sa ma jamais trahi surtout a Wuustvezel ou je leur et mi une tollé a tous ces pro-star
Laughing

bon sinon tout sa c'est pour rire mais bon !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! pour le commun des mortel 330 et 326 sur un 12/12 et sans le 6 et méme pas premiers sur les deux jours la honte................mais fier de moi Razz

Ven 29-05-2009, 21:38

si quelqu'un veut développer sa fait un bon sujet Wink

j ai plein d autre ressources Liar

Dim 31-05-2009, 22:18

En tous cas au tir à l'arc il ne faut pas péter plus haut que son derrière !...

Lun 01-06-2009, 18:29

Lun 01-06-2009, 22:40

ben, disons que le méthane ça vient pas forcément que du fond de l'eau...

donc, si tu pète plus haut que ton derrière, et que la cible est montante, il pourrait y avoir les mêmes problèmes qu'avec l'eau Think

M'enfin ça dépend de ce qu'on a mangé aussi...

ou bu Cool

Mar 02-06-2009, 7:00

Pour un retour, il est en forme le Superlapinou.

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