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Chasseur93 niveau 4Age: 47 Arme(s): Classique
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Alors, le retour.
J'ai donc fait deux entraînements en allégeant ma stab.
Conséquence : Quand je fais une petite erreur, je ne vais pas dans le 8 mais le 6...
La visée est plus difficile à stabiliser.
Sur mon corps : La sortie de l'arc est moins violente, moins de choc dans le poignet et le bras. Une toute petite douleur dans l’intérieur du coude. Ensuite je n'ai pas pensé à soigner ma tendinite.
Vendredi, dernier entrainement avant ma première compète. J'ai ma coudière. Je charge ma stab.
Ça tire mieux, plus de douleur au coude. Pareil en compète.
Donc je conseille la coudière à ceux qui on un début de tendinite et veulent protéger leur coude.
A noté que je ne sais pas comment est protégé le coude avec du premier prix. J'en ai eu pour 40 €.
Soit un coût relativement ridicule comparé au prix de notre matériel. Cette coudière est assez rigide, elle est faite pour des sports où on ne plie pas le coude (ou peu) mais elle ne gène pas dans la pratique du tir à l'arc. |
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Laetitia niveau 6Age: 40 lyon
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j'ai eu ca ya quelques années...
d'abord les douleurs au poignet puis au coude du bras d'arc...
j'ai réglé ma stab pour qu'il n'y ait quasi plus de vibration, replacer ma main... du kiné pour détendre les tendons, et c'est reparti comme c'est venu
depuis, plus aucune douleur...
si la coudiere est efficace continue, mais je pense que sur la durée ca risque d'etre un peu... léger....
fais quand meme quelques séances de kiné, avec un qui connait bien les sportifs (en particulier tennis), évite de prendre n'importe quel kiné... _________________ coach officielle de mon futur champion olympique.....  |
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Ghost64 niveau 5Age: 41 Arme(s): Recurve
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pour en revenir aux huiles essentielles, j'ai vu qu'elles sont été évoquées sans être citées, la principale à essayer est l'huile de gaulthérie (l'orthographe peut varier). comme toutes les huiles essentielles, elles peuvent provoquer des réactions selon les personnes, la plupart du temps il faut la diluer avec de l'huile végétale (jojoba ou amande douce par exemple). sur moi je les utilise pures, mais les premières fois il faut toujours essayer sur une zone peu sensible en très petite quantité.
on retrouve également cette huile essentielle dans la kwan loong, avec d'autres composants qui lui permettent de mieux pénétrer.
(attention avec cette huile, elle est très efficace, au point qu'elle puisse être dangereuse si elle est mal utilisée, c'est pourquoi sa vente est interdite en france, mais vous pouvez vous la procurer facilement sur internet). _________________ Masakatsu Agatsu |
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Georgy niveau 1Age: 63 Arme(s): Recurve
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Juste un petit passage pour te renseigner la thérapie manuelle....
J'ai eu pdt des mois un problème sérieux d'épicondylite. Mon frangin est toubib (généraliste) et j'ai un copain médecin du sport. À eux-deux ils m'ont fait des injections dans le coude et prescrit de la kiné, mais rien ne s'est amélioré. Je me vois encore dans le service du chu, là on me mettait au point une orthèse, et j'y entends encore le kiné qui me disais que j'allais devoir vivre "avec" jusqu'à la fin de mes jours.
Puis une collègue m'a renseigné un médecin sportif qui pratique la "thérapie manuelle". Sans faire craquer les articulations, mais en replaçant en douceur les os à la bonne place, l'épicondylite s'en est allée, doucement, comme elle était venue... Le principe est simple, si un os n'est pas à sa bonne place dans l'articulation, il "tire" sur un tendon qui finit par s'enflammer...
Je pense vraiment que c'est un truc à essayer.... |
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Ghost64 niveau 5Age: 41 Arme(s): Recurve
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l'osthéo ou la chiropractie de toute façon faudrait en faire au moins 2 ou 3 séances par an, voir plus pour les sportifs, ça permet de résoudre des problèmes souvent insoupçonnés... _________________ Masakatsu Agatsu |
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McH0pperTeam niveau 2Arme(s): classique
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et une petite question sur le sujet : que peut-on faire pour éviter de choper une tendinite? échauffement? hydratation? autre??  |
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jlonzeweb Administrateur Age: 61 Arme(s): clavier-souris
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McH0pperTeam a écrit: | et une petite question sur le sujet : que peut-on faire pour éviter de choper une tendinite? échauffement? hydratation? autre??  |
Echauffement : OUI ! Sans échauffement tu risques déjà un claquage musculaire avant tout
Hydratation : OUI ! OUI ! Boire régulièrement pendant l'effort.
Autre : OUI ! OUI ! OUI ! Surtout ne pas surestimer ses capacités et s'arrêter de tirer BIEN AVANT d'avoir mal.
Et aussi : Etre suivi par un entraineur qui t'indiquera quand tu as un défaut à corriger et te conseillera comment le corriger
Et aussi : ne pas persister à utiliser un matériel que tu ne "sens" pas (une mauvaise stab par exemple) juste pour faire plaisir à celui qui te l'a donné ou prêté. Ce qui convient à un archer n'est pas forcément adapté à un autre. |
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Jean-Yves niveau 4Age: 71 Montigny-le-Bretonneux Arme(s): Classique
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Laurent Tiko Rédacteur Age: 60 Arme(s): classique
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Elle à l'ar sympa ta méthode "t'es OK", Jean Yves...  _________________ En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit. En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis. En France, tout est permis, même ce qui est interdit. En U.R.S.S., tout est interdit, même ce qui est permis (Winston Churchill) |
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McH0pperTeam niveau 2Arme(s): classique
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Merci beaucoup jlonzeweb ;) |
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jlonzeweb Administrateur Age: 61 Arme(s): clavier-souris
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McH0pperTeam a écrit: | Merci beaucoup jlonzeweb ;) |
Je t'en prie.. Pour mon dernier point (la mauvaise stab), c'est du vécu...  |
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McH0pperTeam niveau 2Arme(s): classique
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ok merci du conseil, je prend en compte ;) |
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E=cap Rédacteur Age: 61 Le même depuis 34 ans Arme(s): Classique
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Alors, plus d'un an après mon tennis-elbow, des douleurs faibles mais réelles ont subsisté jusqu’à maintenant. J’ai retrouvé l’usage de mon bras complètement et la puissance de mon arc.
J’ai dû adapter ma technique pour éviter d’abimer de nouveau mon tendon, la première des astuces a consisté à modifier mon grip pour que le torque ne vienne plus, petit à petit, agir et cogner dans le creux de ma main d’arc, j’ai baissé un peu la hauteur du grip pour travailler plus en calage osseux plutôt qu’avec les muscles du bras.
J’ai conservé l’aileron sur la partie gauche de mon grip, je plis mes doigts dessus au moment de placer l’arc vers la cible puis à mi- allonge, je les déplie, assurant ainsi un placement rigoureux de ma main dans le grip, sans tension dans les doigts de la main d’arc. Je conserve l’avantage de mon grip, sans en avoir les inconvénients, contraction du muscle justement qui réagit avec les doigts pliés, comme pour serrer une raquette de tennis..
D’autres modifications du geste se sont mises en place, pas toujours volontairement, mais globalement l’ensemble reste cohérant. Le manque de confiance que j’ai subi pendant près de 12 mois après la blessure, mon fait prendre des chemins, souvent hasardeux, mais finalement sans trop de dommage pour remettre en place l’essentiel :
- un bras béton devant aidé par une application (volonté) à maintenir le triceps contracté pendant toute la séquence de tir, jusqu’à l’arrivée en cible de la flèche (indispensable pour lancer le GO).
- Un décalage des épaules au moment de la prise de repères au visage, afin que la puissance tienne toute seule pour garantir quelques secondes de stabilité magique du viseur en cible.
- un renforcement de l’appui du haut de la main de corde contre le maxillaire pour assurer une flèche même moyennement préparée dans la zone, petit détail qui permet d’oser lancer le GO, c’est-à-dire de ne plus attendre que le clicker passe quand il veut bien, mais en provoquant le départ de la flèche en cisaillant très légèrement les deux épaules horizontalement, à défaut d’utiliser les muscles du bas du dos, par un pivotement de la pointe de l’omoplate vers la colonne, technique réservée aux plus doués que moi.
J’ai repris par sécurité un traitement aux huiles essentielles en éliminant (j’espère) celles qui m’avaient causé mon œdème, et j’applique d’abord de la crème sur le bras pour rendre les huiles moins agressives sur la peau, puis quelques gouttes d’huiles essentielles avec un massage d’une à deux minutes pour faire pénétrer le principe actif en profondeur, le rôle des huiles est surtout antalgique et anti-inflammatoire puis j’enlève rapidement les traces d’huiles sur la peau pour ne pas provoquer de brûlures, puis je remets de la crème sur la peau pour adoucir et calmer éventuellement l’échauffement de la peau. Si une partie de la peau reste rouge d’une application à l’autre, je la protège avec de la crème en épaisseur et j’évite de mettre de l’huile dessus.
L’erreur que j’avais faite, il y a un an avec les huiles essentielles, était des laisser « cramer » la peau, sans couper le feu que provoque un contact prolongé de ces principes actifs très puissants sur la peau. Mais leurs actions n’ont rien de psychologiques, c’est vraiment très efficaces. |
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