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E=cap Rédacteur Age: 61 Le même depuis 34 ans Arme(s): Classique
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Là, je pense que la pince à l’arrière entre le pouce et l’index est définitivement bloquée !
Il reste à mettre une petite pièce le long de la fenêtre d’arc pour empêcher la barre de remonter au niveau du plancher de l’arc, juste par sécurité.
Je verrai, si mes élèves les plus récalcitrants à laisser vivre les réactions naturelles de l’arc, commence à comprendre l’intérêt du lâcher prise !!!
Pour certains, la sensation qu’ils ou elles vont découvrir sera une première !!!
 _________________ We never surrender! en hommage aux victimes du 13/11/2015 à Paris et sa banlieue |
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E=cap Rédacteur Age: 61 Le même depuis 34 ans Arme(s): Classique
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Cela avance !
Cette 3ième version devrait remettre l’index dans une position plus confortable tout en laissant l’impossibilité
d’avoir un phénomène de pince entre le pouce et l’index !
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E=cap Rédacteur Age: 61 Le même depuis 34 ans Arme(s): Classique
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Son inventeur Schnoebelen André dit Schno, n’était pas un très bon commercial, mais il avait pour l’époque, autour des années 80, des idées originales.
En dehors de ce système d’amortisseur, il avait sorti un v-bar à ressort, l’avantage vu le bruit, c’est que personne sur le pas de tir n’était armé en même temps que toi…
Mais surtout, il fut le premier à fabriquer un arc Français en usinage numérique avec son modèle Athlétic !
Je n’ai pas un souvenir exact de cette stabilisation très efficace, mais le dessin reflète à peu près l’idée… car il n’y a plus aucune image sur le Web de cette invention !
Pour comprendre l’intérêt, à la base, il y a des silentblocs assez tendres qui absorbent le choc de la corde sur les branches.
Donc, seuls les anciens peuvent s’en souvenir…
https://ecaparcherie.fr/wp-content/uploads/2025/07/Stab_Athletic_V3_2025.mp4
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Metropolis niveau 4Arme(s): Classique
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E=cap a écrit: | car il n’y a plus aucune image sur le Web de cette invention ! |
Mais si, il faut chercher Atletic - sans 'h' - sur LeBonCoin par exemple, on en voit passer parfois,
même avec le Tri-bar là, enfin il manque le Vbar sur la photo mais on voit la petite barre qui partait vers le bas :
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E=cap Rédacteur Age: 61 Le même depuis 34 ans Arme(s): Classique
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Metropolis a écrit: | E=cap a écrit: | car il n’y a plus aucune image sur le Web de cette invention ! |
Mais si, il faut chercher Atletic - sans 'h' - sur LeBonCoin par exemple, on en voit passer parfois,
même avec le Tri-bar là, enfin il manque le Vbar sur la photo mais on voit la petite barre qui partait vers le bas :
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Merci beaucoup ! _________________ We never surrender! en hommage aux victimes du 13/11/2015 à Paris et sa banlieue |
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E=cap Rédacteur Age: 61 Le même depuis 34 ans Arme(s): Classique
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Toujours progresser et oser améliorer et modifier sa technique de tir… pour ne pas stagner !
J’ai commencer le tir à l’arc au milieu des année 70 avec de très mauvaises bases !
On va dire les bases de cette époque… ou l’apprentissage du tir à l’arc était plus qu’empirique et ou l’introduction du clicker n’avait pas vraiment été assimilée,
en tous les cas dans beaucoup de clubs et par de nombreux tireurs en France.
On parlait plutôt de contrôleur d’allonge !!!
Mais le pire étant comme choix de libération de la corde, d’ouvrir les doigts avec l’utilisation des muscles extenseurs. Le mot (maux), c’était la décoche !
Après quand même quelques succès, vu le peu de nombre de licenciés, avec beaucoup d’entrainement, il n’était pas très dur d’apparaitre en haut des classements.
Les qualifications aux Frances dans toutes les disciplines n’étaient qu’une simple formalité !
Puis vient l’enrôlement en équipe de France, pour moi, c’était un peu cela, plus poussé par certains car j’avais refusé ma première sélection aux championnats d’Europe
mais l’année suivante, je n’y avait pas coupé.
Donc une longue période de 7 années à l’Insep commençait, me coupant de toute vie sociale avec pratiquement qu’une succession d’échecs à la clé,
à par le titre par équipe avec Nîmes et pour apothéose l’incapacité de tirer sur la corde de mon Yamaha un beau matin.
Certains diront un gros nœud au cerveau finalement très profitable.
Je ne dirais pas 7 ans de malheur. Mais de tireur à l’arc, j’étais presque devenu un sportif (comme je l’ai dit et je le maintiens, le tir à l’arc n’est pas un sport…).
Après une remise en cause de la place du tir à l’arc dans ma vie, et d’un changement de technique (sur la base de celle des Américains)
et aussi de mon état d’esprit, pendant une vingtaine d’années avec mes différents clubs, et surtout avec mon club actuel
la Compagnie d’arc de Villiers sur Marne, nous avons eu de jolis moments et podiums.
Le souci, mon niveau était correct mais je ne progressais plus par peur de changer le moindre détail !
On ne change pas une équipe qui gagne … et c’est là l’erreur !!!
L’arrêt définitif de mes co-équipiers de club, dont l’incroyable Philippe Loyen, m’avait poussé à faire une pose au niveau des tournois, mais je continuais à mes brûler les doigts
à l’entrainement.
Et au milieu des années 2005, j’ai une nouvelle fois décidé de modifier ma technique de tir pour pouvoir encore progresser.
Vous remarquerez que depuis le début de ce texte, je ne parle pas d’entraineur… car j’ai eu beaucoup trop de déceptions avec ceux qui s’étaient improvisé un petit moment d’être mes entraineurs,
donc j’ai fait sans, ne faisant plus jamais confiance.
Et après des centaines de milliers de flèches, j’ai enfin réussi à toucher certains de mes rêves, avec pendant une dizaine d’années, de beaux scores et de belles places, tout cela étant relatif,
chacun ayant ses propres objectifs et ses propres limites.
Après plusieurs problèmes de vieillard, c’est la vie, j’ai à nouveau décidé de modifier profondément ma façon de tirer en essayant d’éliminer les défauts d’apprentissages de mes débuts
qui sont presque gravé dans mon ADN.
Mais la reprogrammation est plus difficile que l’apprentissage.
J’ai donc maintenant la technique dont je rêvais point par point , mais plus la régularité…
On ne peut pas tout avoir. Mais j’ai toujours autant de plaisirs à sentir la corde maintenant s’échapper de mes doigts.
Mon analyse, c’est que le parcours d’un champion est une courbe de Gauss parsemée d’embuches.
Surtout en tir à l’arc ou l’on peut durer assez longtemps, j’ai fait mes meilleurs scores à pratiquement 50 ans…
L’envie de continuer dépend essentiellement de la motivation qui évolue avec le temps.
Et arrivé en haut de cette courbe, il faut simplement accepter d’en descendre un peu de l'autre coté, sinon c’est l’arrêt pur et simple comme 99% les champions
qui m’ont fait avancer et motiver au fil de toutes ces années.
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E=cap Rédacteur Age: 61 Le même depuis 34 ans Arme(s): Classique
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Production et prestation disponibles depuis mon atelier jusqu’à fin 2025 :
- CustomGrip : à partir de 65,00 euros (49,00 euros entre juillet et fin août 2025)
- EcapGrip : 49,00 euros
- Prestation scan grip : 25,00 euros
- Recharge pour palette industrielle : TPU/Noene 29,90€ - Blanchet/Noene 34,90€ - Cordovan/Noene 42,00€
- Ecarteurs EcapBonnes et SpacerEcaP : 15,00 euros
- ElasTrainer avec kit classique ou poulies : 49,00 + 15,00 soit 64,00 euros
- EcapSpinner : 990,00 euros
Voir les formulaires pour passer commande sur mon site trouillet.org
Dès 2026, l’EcapSpinner disparaitra de mon offre, faute de comparateur/câble USB/logiciel compatible
et abordable au niveau tarif avec le développement que j’ai mis en place.
Dès 2027, l’ElasTrainer ne sera plus produit par mon atelier.
Il continuera d’exister dans la version que propose Ludovic depuis son site elastrainer.com.
C’est un produit fantastique, mais qui demande dans la qualité que je propose près de 30 heures d’impression 3D.
Il faudra à l’avenir que je ménage mon parc d’imprimantes 3D, car je ne réinvestirais pas dans de nouvelles machines
professionnelles qui coutent suivant le modèle entre 5000 et 7000 euros…
J’ai d’autres projets en tête au niveau investissement…
Les recharges en Blanchet/Noene et Cordovan/Noene resteront disponible jusqu’à la fin de mon stock de matière.
Je maintiendrai le SAV, sur les pièces des Elastrainers (sauf les élastiques) et sur les palettes des clients qui m’ont fait confiance
sur ces produits jusqu’en 2030.
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Voici la différence entre plastique PLA et ABS :
Le grip original est en PLA, matière très facile à imprimer et souvent remplit seulement à 25 %.
Le temps d’impression est donc plus court.
Mais la finition est plus difficile à réaliser, sauf à utiliser des produits relativement chers, donc très souvent, le grip est livré pratiquement tel que sorti de l’imprimante.
Il est plus fragile et les modifications à la lime sont risquées. Au bout d’un millimètre d’épaisseur enlevée, l’outil tombe dans un trou.
La copie exacte en ABS, est imprimé à 100 %. Les modifications de forme peuvent être très profondes.
Le grip est plus lourd, mais il est plus solide. L’impression de cette matière est difficile, car l’ABS se rétracte au cours de l’impression surtout avec des temps
d’impression qui peuvent dépasser 8 heures suivant le volume du grip.
Le gros avantage de l’ABS, c’est la finition ! Au papier de verre, à la lime douce et même au cutter, la matière se travaille sans que le plastique fonde à la moindre surchauffe.
Depuis que j’imprime des grips et accessoires, j’ai dû passer près d’une tonne d’ABS dans les buses de mes imprimantes. Je n’ai pas dû terminer la seule bobine de PLA
que j’ai eu, ayant très vite compris que cette matière ne ferait pas bon ménage avec mon passé d’apprenti bijoutier… _________________ We never surrender! en hommage aux victimes du 13/11/2015 à Paris et sa banlieue |
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Retrouver la sensation de son ancienne poignée sur un nouveau modèle flambant neuf mais dont le grip ne convient pas,
la solution, c’est l'HYBRIDATION !
C’est un exercice, pas facile à réaliser, car le travail, vu mon faible niveau d’expertise en modélisation 3D,
n’est pas du dessin mais plutôt de l’assemblage pour obtenir exactement la forme du grip souhaité.
C’est donc au moins 2 à 3 jours de travail !
- La première étape, c’est la numérisation des deux grips pour obtenir deux objets en volume Mesh.
- La seconde étape, c’est l’assemblage numérique des deux grips avec découpe des morceau que l’on ne souhaite pas conserver.
- Ensuite la troisième étape consiste à imprimer le résultat de l’assemblage.
- Une fois l’impression terminée, la quatrième étage, c’est le lissage des défauts de l’assemblage et ajout si besoin de Plastiline
pour renforcer ou ajouter de la matière sur les manques.
- La cinquième étape, c’est de nouveau la numérisation de la première épreuve.
- Dans le meilleur des cas, la sixième étape, après impression du modèle définitif dans la couleur souhaitée par le client,
c’est le lissage mécanique et chimique du résultat de l’hybridation.
Tarif : 120,00 euros + frais de port (option 37 du formulaire CustomGrip)
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Une révolution ?
Depuis le temps que je cherchais une solution pour ne plus contrarier les réactions naturelles de l’arc !
J’avais déjà beaucoup réduit le rattrapage de l’arc par les doigts grâce à l’aileron sur le côté gauche.
Mes doigts sont repliés dessus cette structure qui donne en plus l’angle à 90 directement dès la prise d’arc.
Mais, il y a toujours un mais, le naturel revient toujours au gallot !
Et c’est l’action du pouce, la pince qui a pris le relais… et finalement l’arc est quand même un peu contraint
au moment ou la flèche contourne la fenêtre de l’arc.
Ce qui change d’une flèche à l’autre le flambage idéal du tube et donne du latéral en cible.
A force de bricoler avec différentes solutions, je me suis rendu compte qu’avec le pouce qui cherche à toucher le ciel,
un phénomène biomécanique empêche d’utiliser la pince entre le pouce et l’index.
Tout du moins la flèche sortant de l’arc en 2 centièmes de seconde, cette action qui oblige le pouce
d’être pointé vers le haut ralenti la possibilité de coincer l’arc entre le pouce et l’index.
Cela fait pratiquement un mois que je travaille sur cette idée, mais maintenir le pouce dans cette direction,
donne un peu de tension sur l’éminence thénar (le gros muscle du pouce).
Je pense qu'en donnant le placement directement au pouce par une structure,
la tension ne se fera que sur la dernière phalange du pouce.
Dans tous les cas, mes premiers essais donnent cette sensation !
https://ecaparcherie.fr/wp-content/uploads/2025/07/Gillo_Pouce_2025.mp4
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L'explication est très simple !
Une photo vaut mieux que des mots...
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Les 9 astuces et trucs sur le CustomGrip d’E=cap !
1 - EndLess, grip très profond, point de pression négatif, 6 à 8 mm devant le BB, comme sur la poignée Hoyt Helix ou Nexus : pour réduire le torque.
2 - Aileron d’E=cap, permet de poser les doigts sur cette surface inclinée : pour déprogrammer le réflexe de rattraper l’arc et placer la main à 45 degrés.
3 - Structure au-dessus de l’index : pour combler le vide sur le côté de l’index, une fois les doigts replier sur l’aileron.
4 - Guide type Hoyt KSL, mais décalé à droite coté pouce : pour combler le vide entre le pouce et l’index.
5 - Cure-dent type Ph. Loyen : pour un placement millimétrique du grip sur la ligne de vie.
6 - Vide coté éminence Thénar, comme préconisé par Monsieur Oh : pour décontracter la pression du muscle du pouce.
7 - Angle type Jager dans l’axe du cure-dent, moins de matière sur le bas du grip pour renforcer la sensation de placement du grip au bord de la main grâce au vide.
8 - Guide pour placer le pouce à 30 degrés : pour le maintenir pointé vers le ciel sans effort.
9 - Matière au-dessus du pouce, car le pouce est toujours naturellement plus bas que l’index (pour au moins 90% des tireurs) : pour directement donner l’angle à la main de façon tactile.
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Toujours aussi fabuleux de passer d’une idée et puis quelques heures après seulement, d’avoir le modèle à tester dans les mains !
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